mardi 5 octobre 2010

Second degré

Bon j'ai réussi a dessiner et repasser une petite BD, mais j'ai vraiment pas le temps de coloriser, donc pour l'instant je vous l'affiche en noir et blanc. => 'A y est c'est colorisé...

Ah et puis deux autres dessins, un pour LIAW représentant Tank et un p'tit dragon, des dessins modestes étant donné le temps que j'ai eu pour les faire, même si je suis pas trop mécontent du résultat.




11 commentaires:

Willvivi a dit…

Trop fort c'est exactement ca ^^

Nours a dit…

Enfin maintenant avec la note que j'ai eu ça va mieux :p

Anonyme a dit…

La prétention ne te sied pas cher frère. Fais attention, en tragédie classique, l'hubrys, c'est à dire l'orgeuil du héros principal est l'origine de la catastrophe innéluctable qui clôt la pièce. Ta bonne note est certe le fruit de tes efforts récompensés mais tu devrais ne pas trop ébruiter ce succès afin de conserver ta place et ta dignité!

Nours a dit…

Ah bah en fait nan j'ai fait ce rêve avant d'avoir ma note, mais c'est vrai que maintenant ça va mieux =D

Sinon niveau mégalomanie je peux faire beauuuucoup mieux, et c'est pas Sophocle qui parviendra à m'arrêter...muahaha!

Megg~ a dit…

Nours: En gros (je traduis) Arrête de te la péter ça te retombera sur la tronche! XD

Anaïs: l'hubIs avec un "i" =P et c'est surtout la démesure chez les grecques davantage que l'orgueil èé *part se cacher*

Anonyme a dit…

En effet, faute de frappe, sache que les 2 orthographes existent "hubris" et "hybris". Je ne vois pas en quoi l'orgeuil serait contradictoire avec le terme de "démesure". Bien sûr chez les grecs la notion d'hybris est contradictoire à la notion de tempérence d'où la démesure. En revanche quand je parle de "tragédie classique" je ne faisais pas forcément référence à celle des grecs. Je faisais plutôt référence aux grandes tragédies du XVIIe et XVIIIe siècle, celle d'un grand Racine et d'un Corneille. Dans ces tragédies, l'hybris constitue bien la faute, le pêché commis au sens chrétien. Cette faute est par la suite punie par le châtiment des dieux et a pour effet de faire se rétracter l'individu à l'intérieur des limites qu'il a franchies. Ici la notion était bien entendu utilisée de façon hyperbolique. Je pense que tu n'as pas compris la subtilité de la référence. ^^

Megg~ a dit…

Je croyais que t'avais continué sur les grecs autant pour moi =)

Anonyme a dit…

Ai-je le droit de rire........???
de ton dessin, Aurélien, bien-sûr.....

chloe a dit…

ha ha et maintenant les suites !!! encore mieux ://

Nours a dit…

Oué mais t'en fait pas y'a deux littéraires qui parviennent a faire oublier le côté scientifique de la note avec leurs commentaires xD

Chloe a dit…

oui j'ai vu ca lol
Heureusement